Le propriétaire de l’industrie du bingo a préparé un jour pour distribuer le trophée de Michel Hupé à un de ses subordonnés. Selon le déroulement de la journée, M. Parent a été celui qui a bénéficié de ce trophée. En précisant que cet événement s’est déroulé sous les yeux des invités qui ont reçu l’invitation d’assister, cela a été fait dans le restaurant de Montréal du Casino de Montréal et que Gérard Bibeau le président de Loto-Québec et Jean Royer le premier vice-président, le chef de l’exploitation, et le représentant des différentes associations de l’industrie ont fait l’honneur de se représenter pendant la durée de l’événement.

De plus la constitution d’un comité qui a pour rôle de sélectionner les candidats qui peuvent être nominer et pouvant prétendre au trophée de Michel Hupé. Ces comités est composés de neuf personnes dont leur provenance est une des caractéristiques que son statut à exiger pour sa création, car ils résultent des différents rassemblements et c’est eux qui ont l’obligation de faire l’analyse des candidatures, selon leur votent chez M. Parent qui est le meilleur pour promouvoir le titre de Michel Hupé 2012.

Etant donner que M. Rouville Parent est un des salariés qui a donné plus de dévouement sur le plan professionnel à l’industrie du bingo au Québec, car durant ces vingt années de ses services auprès de notre industrie, on constate que ses travaux sont une des références qu’on peut s’attendre de la part de son employé, il est toujours présent dans toutes les choses que l’ont lui a attribué. Surtout qu’il a occupé le poste de directeur de l’Association des bingos de Victoriaville, dont il a exercé depuis 1997.

Ses savoirs qu’il a mis a la disposition de l’industrie et que ce dernier s’est donné plus de confiance sur la preuve que M. parent a parement assuré la présidence de l’Association des bingos qu’il a bien organisé et qu’il a rassemblé au Québec (ABCRQ) pendant des années et que même qu’il y concentre toute son énergie.

M. Parent a aussi travaillé au sein du Secrétariat du bingo et adhéré dans les différents comités de travail dans le but de faire accroitre l’intérêt de l’industrie de bingo, comme la Régie des alcools, des courses et des jeux et la SBQ.

Actuellement, il se focalise fortement sur un projet qui aura pour effet de promouvoir des avantages pour la région de Victoriaville, en ayant l’exactitude sur l’apport que ce projet va apporter à la région. La réalisation de ce projet sera le 12 décembre prochain et surtout qu’ils vont installer une salle Kinzo et qu’il va aussi inaugurer pendant ce jour.

En interpellant que le prix de Michel Hupé s’est fondé sur le principe de la considération de Michel Hupé, à la mémoire du fondateur et pour marquer les contributions des principaux acteurs qui fait l’industrie du bingo se trouve à cette situation, et même que le nom de lauréat porte son nom, et qu’elle était le directeur général de la Société de bingos du Québec (SBQ) pendant 10 ans et même plus, elle se base sur un objectif, mentionnant que les dirigeants devront reconnaitre qu’ils sont tout dans une même équipe, ce trophée est une reconnaissance sur les contributions des employés envers l’industrie du bingo, et ayant pour but de procréer un développement dans une vision de prospérité pour l’industrie. Par l’intermédiaire de ce prix, la SBQ peut confirmer sur l’évaluation de ces personnels et surtout sur les compétences qui se reflète dans les travails qu’il exécute, comme le faisait M. Hupé, qui donne plus de priorité dans la mission sociale de cette industrie, dans la raison qu’il inter dépend les unes des autres dans l’harmonisation de sa vie interne.

Mentionnant que l’industrie à replacé pas près de 135 millions de dollars à des centaines organisme, c’est surtout grâce à l’existence des bingos en réseau, l’amélioration des offres que les concepteurs de ces jeux ont mis en place qu’ils ont pu atteindre ces objectifs. La totalité des profits que les bingos en réseau récoltent est toute rapportée aux OSBL, car c’est aux OSBL qui sont titulaires d’une licence de bingo, la SBQ participe aussi à tous ceux qui sont de la collectivité québécoise.

Lors de son entré dans ce domaine où elle a commencé à mettre en place son industrie du bingo en 1997, les rapports budgétaires précise les sommes qu’elle a dû verser, remontant dans les 135 millions de dollars, qui fait que c’est environ 1 000 organismes qui n’ont de but cherche à avoir des encaissements d’argent, et qui trouve que le bingo prend une très grande importance sur les ressources financières.